« Matthew Crawford propose une solution très séduisante : il faut considérer l’attention comme un bien commun. Au même titre que d’autres ressources menacées de rareté ou de dégradation – l’eau ou l’air par exemple -, il faudrait imaginer une gestion de l’attention qui ne soit pas ni publique, ni privée »
Source : France Culture : votre attention est rare, et chère