Une année de plus…

Et voilà, je viens de terminer ma 46e année sur cette planète.
Bigre que le temps passe vite.

Du coup, autant remplir mes journées, mes semaines, avec des projets qui me plaisent, me portent et donnent du sens à ma vie.

Si vous me connaissez un peu, vous savez à quel point j’aime tisser des liens, construire des ponts. Le dernier projet de Pourpenser, #leprojetfou et son livre « Se changer les idées » reflète parfaitement ce souhait.

Samedi dernier, c’était donc mon anniversaire, mais également la première fois que je présentais publiquement ce petit livre en librairie.

Pour Aline, Dominique et moi, ça y est, ce livre est édité, imprimé, et maintenant disponible à la vente. Le projet est pour ainsi dire terminé pour nous, et d’autres projets nous appellent déjà. Mais penser ainsi serait une erreur et nous le savons d’expérience : lorsqu’un livre arrive dans les mains des lecteurs, c’est une nouvelle aventure qui commence. Une aventure qui peut durer des années : tant qu’il existe une copie d’un livre à travers le monde, l’aventure continue.

A propos de textes qui traverse le temps, voici le dernier livre que je viens de m’offrir en tant que lecteur, la traduction d’un poème persan du XIIe siècle : « Le Cantique des oiseaux » aux éditions Diane de Selliers.
Un projet est à venir autour de ce texte, j’aurai l’occasion de vous en reparler…

cantique-oiseaux

 

 

 

 

Deux chansons de l’été à découvrir !

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Photo CC0 – Andree Brown

 

Aucune chance que ces deux titres que je partage ici aujourd’hui soient le tube de l’été. Pourtant, à côté d’eux, la Lambada est aussi insipide qu’un morceau de tofu peut l’être face à une pêche gorgée de soleil.

Voici pour commencer Gérard Delahaye avec « La guitare de Gao« .
Une histoire tristement d’actualité.
Gérard était passé par Ancenis il y a quelques années et mes enfants avaient chanté avec lui. Depuis, j’ai toujours suivi son actualité et gardé le contact. Avec Aline nous avons eu le plaisir d’éditer son livre « Les mésanges de la grande marche » illustré par Marie Fardet.

 

La seconde chanson « Antoine et les deux Albert » est signée Manta.
C’est une valse qui nous balance entre espoir et nostalgie.
Je ne sais pas pour vous, mais les rythmes de valse ont toujours un effet magique sur moi. Est-ce que le balancement me renvoie inconsciemment à la toute petite enfance ?