découverte de #rebootfrance…

france

Je découvre ce matin le projet lancé par Korben dimanche soir

Hier, je découvrais le mot de François Rouillay et son souhait de « rejoindre ces courants d’actions de la transition citoyenne des territoires pour ce changement de paradigme sur la planète. »

Parallèlement, je pense aux nombreuses initiatives en cours, qu’elles aient vu le jour avant ou après le 11 janvier… Et je me dis qu’il y a vraiment dans l’air une envie de changement très, très forte.

Peut-être un besoin également de se ré-approprier pierre après pierre la construction de nos sociétés.

J’espère que nous aurons la sagesse, les un-e-s et les autres, d’interconnecter toutes ces initiatives et de ne pas nous croire les uniques porteurs d’une vérité absolue.

N’oublions pas : nous ne changerons rien durablement si nous ne changeons également notre relation à nous-même et à nos proches.

Ce concept de la petite cloche peut changer nos vies (si, si !)

cloche

Dans cette petite conférence, Thomas d’Ansembourg fait le lien entre épanouissement personnel et implication citoyenne.

Ça me parle bien : la meilleure façon de changer les choses autour de nous est sans doute de commencer par regarder nos propres contradictions, nos propres limitations.

Et puis… c’est totalement en phase avec #leprojetfou sur lequel nous sommes en train de travailler avec Aline, Dominique et une quinzaine de co-auteurs : ensemble, changeons-nous !

Assurer les défis, en rendre compte, et pendant ce temps là…

Le 9 mars, nous avons lancé avec Aline et Dominique notre projet : 23 jours de défis.

Chaque jour, un défi est partagé sur le blog d’Aline et relayé sur la page Facebook de Pourpenser.
blogAline

A ce jour, plus de 215 personnes ont demandé à recevoir le défi directement dans leur boîte email et les images sur Facebook touchent en moyenne 4000 personnes par jour.

Ça fait très plaisir de voir lire les retours mais il n’empêche que de mon côté je suis un peu frustré : je n’arrive pas à tenir les défis ! et lorsque j’y arrive, je ne réussis pas à trouver le temps de venir le partager avec vous.
 
Bref, ces défis sont très sympas, je suis heureux que nous puissions les partager, mais je m’aperçois que sur la durée c’est compliqué à assurer. Heureusement que Flip et Flap avaient prévu le coup !

 

 

Réimaginer le monde ou regarder se coucher le soleil ?

Je l’avoue : raté pour moi ce soir… Je n’ai pas mené à bien ce 4e défi : regarder le soleil se coucher. J’avais pourtant tout préparé : je connaissais l’heure, je savais qu’il fallait que je me tourne vers l’ouest, j’avais même prévu un endroit un peu en hauteur en plein Paris.

Tout prévu…. sauf l’imprévu : une discussion avec une amie qui dure plus longtemps que le temps que nous étions donné, une de ces discussions qui nous font perdre la notion du temps. Résultat : il était 19h30 lorsque nous sommes sortis du café… Le soleil était déjà couché…

Mais je ne regrette rien, l’échange humain était à la hauteur du coucher de soleil que je ne manquerai pas de contempler un autre jour.

Ceci étant, j’ai réussi à ajouter une nouvelle phrase sur notre porte ce matin, ce sont les enfants qui ont choisi :

image

 

Pas tous les jours facile…

Le mercredi n’est pas la journée la plus simple dans mon emploi du temps de papa travaillant depuis la maison.

Aujourd’hui, non seulement je n’ai pas rattrapé le retard pris ces derniers jours, mais j’ai légèrement creusé le trou.

Du coup, le défi N°3 est passé à la trappe… Mais je constate que vous êtes de plus en plus nombreux à partager les défis depuis la page Facebook de Pourpenser et que vous êtes plus d’une centaine à recevoir les défis chaque matin dans votre boîte email !

Par contre, nous tenons le coup sur le défi N°1 et voici la photo (un peu sombre je l’admets) de notre porte en ce 11 mars.

defi3

Demain, je pars pour 2 jours sur Paris, je ne sais pas si je réussirai relever tous les défis… Mais comme le dit Flap :

« si tu rates un jour, c’est pas grave, si tu ne le fais pas, c’est pas grave. »

 

Une journée bien remplie…

En me levant ce matin, je ne partais pas gagnant.

J’avais une journée plutôt chargée avec une réunion de Conseil d’Administration du Coll.LIBRIS le matin et le soir une réunion de préparation pour le club Cigales que nous lançons par chez nous.

Entre temps j’avais un peu de travail de prévu et mine de rien il y avait une phrase à changer sur la porte (eh oui, le défi N°1 court toujours) et surtout prendre le temps d’une pause pour aller me promener (défi N°2).

Pour la petite phrase, je l’avais déjà repérée la veille sur le partage d’un ami photographe (si vous ne connaissez pas l’univers d’Alexandre Sattler, je vous invite à le découvrir).

photo3

La réunion du matin avec mes confrères éditeurs s’est bien passée – nous avons notamment évoqué l’idée de mettre en place un forum ouvert dans les prochaines semaines – et la matinée s’est terminée par un déjeuner au fameux Café de la Gare.

Aline, de retour de Bruxelles, étant bloquée dans le train et Dominique en rendez-vous jusqu’à 15h, le moment était parfait pour relever le défi N°2 et « prendre le temps d’une promenade ».

photo2 photo

Et c’est à ce moment que je remercie la vie. Me poser et regarder la Loire couler tranquillement à cinq minutes de chez moi est un cadeau. Ce paysage change quotidiennement : les teintes, la hauteur de l’eau, sa vitesse… Pourquoi est-ce que je ne prends pas plus souvent le temps de cette pause ?

Je suis rentré 25 minutes plus tard prêt à avaler en 4 heures les 6 heures de travail qui m’attendaient (bon… je l’avoue… je n’ai pas tout terminé).

Ce soir, après un dîner avec les enfants, j’ai retrouvé mes trois comparses pour un point sur le projet Cigales. Nous serions à ce jour 19 personnes prêtes à nous engager sur ce projet. Rendez-vous est donné pour le 25 mars avec à l’ordre du jour : assemblée constitutive !

Bref… ce fut une belle journée (même si je n’ai pas tout terminé 😉 ).

 

 

Fin d’une première journée de défi…

Voici que se termine cette première journée #paribonheur #defis23jours

Très intéressant de mener ainsi un défi à la fois personnel et collectif. La première fois que j’ai tenté l’expérience d’un défi perso-collectif c’était avec Christine Lewicki pour son challenge « J’arrête de râler » . Je me rappelle qu’elle avait expliqué combien le faire avec nous l’aidait, elle.

Il me semble aujourd’hui en percevoir la portée.

Notre démarche est totalement différente de celle de Christine, mais mine de rien il y a quelque chose d’étonnant, d’émouvant même, à voir combien une action individuelle multipliée par 10, 100, 1000… peut avoir de portée.

Un grand, grand merci aux 74 personnes (et sans doute plus à cette heure) qui ont partagé autour d’elles et ont ainsi permis à plus de 7000 personnes de voir l’information. Pour une première journée,  nous n’attendions pas un tel écho.
J’ai vu passé plusieurs dizaines de photos avec des portes, des murs ou des fenêtres sur lesquelles s’affichaient de petites phrases.

pari1jour

Il y a plusieurs années que j’ai fait miennes les phrases de Gandhi, Albert Schweitzer ou François de La Rochefoucauld sur l’importance d’incarner au mieux les valeurs qui nous sont chères.

Avec les livres que nous éditons, et les retours que nous font les enfants ou parents lecteurs sur les salons, nous constatons combien les mots, les images, les histoires peuvent changer la perception des choses, peuvent aider à regarder « autrement », avec des yeux grands ouverts et le cœur riche de nouvelles émotions.

Avec ces défis, j’ai le sentiment que nous allons un cran plus loin : Les mots sortent des livres et prennent vie.
Ce n’est que le premier jour. Je ne sais pas de quoi seront faits les suivants, mais j’accueille !

 

 

 

 

23 jours de défis : c’est parti pour l’aventure !

Et voilà… nous sommes le 9 mars, et aujourd’hui, avec Aline et Dominique nous partons pour 23 jours de défis.

Pour ce premier jour, mise en jambes avec un défi simple : afficher une petite phrase sur sa porte.
Simple en apparence, parce que je me suis questionné au moins 1/4 d’heure sur LA phrase que j’avais envie de partager aujourd’hui :

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Vous avez du mal à lire ?

Hop, petit recadrage !

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Le jour où j’ai arrêté de poster sur Facebook ?

Ce 8 mars 2015, marquera peut-être le jour où je pourrais dire enfin dire : « Facebook, je n’y publie rien, c’est juste un relais »

independance

Difficile de changer nos habitudes lorsque finalement rien ne nous y oblige de façon formelle, explicite ou pratique.

D’autant plus difficile lorsqu’il est si simple de continuer ainsi.

Je ne crie pas encore victoire, mais il me semble qu’entre un petit blog bien paramétré pour l’écriture de billets courts et l’ajout de passerelles vers Twitter, Facebook et Framasphere/D* toutes les chances sont de mon côté !

C’est cool d’avoir un peu le temps un dimanche pour mettre tout ça en place !

Cool également de ne pas y passer trop de temps pour sortir se promener avec les enfants et profiter du printemps qui s’annonce.