Et si nous parlions du prix de nos paroles ?

Cet aprem, je déroule mon fil FB et je vois d’un côté Thierry Crouzet qui refuse un billet sponsorisé et de l’autre Ezzedine El Mestiri qui dit non à une chronique sur les « nouvelles tendance de la consommation »…

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L’un et l’autre ont développé au fil du temps une expertise, une notoriété, un savoir-faire dans le dit et l’écrit dont d’autres souhaitent profiter.

Pas toujours facile de chiffrer le prix de sa liberté, surtout lorsque dans le même temps ce qui nous passionne, nous fait vivre et vibrer, rapporte à peine, ou tout juste, ce qu’il faut en terme d’argent pour poursuivre l’aventure.

Il y a quelques semaines, un ami me demandait :

Et si Mc Do vous demandait de faire des livres pour eux ?

Ma réponse immédiate a été :

Nous dirions non !

Puis nous avons discuté du montant, et là, ma réponse est devenue :

En fait, je préfère ne pas me retrouver dans une situation où la question pourrait se poser.

Du coup, hop, je mets les bouchées doubles sur ces projets qui me nourrissent, me portent et m’aident à grandir !

 

 

 

 

 

 

 

Ces idées du matin…

Quoi de plus fugitif, de plus insaisissable qu’une idée matinale ?

Je parle de ces idées qui surgissent alors que nous sommes encore en demi-sommeil, à cette frontière entre rêve et réalité.

Bien souvent, je laisse ces idées passer sans trop les arrêter. D’autre fois, une envie de les explorer s’impose à moi. C’est le cas aujourd’hui.

Est-ce parce que j’ai envie d’utiliser mes nouveaux jouets (ce blog, mon compte framasphere ?) ou simplement parce que je reviens de 10 jours de pause, 10 jours loin de mes questionnements habituels ?

Quoi qu’il en soit, et quelque soit la pertinence de l’idée du moment, explorer les idées du matin reste un de mes vrais plaisirs : sont-elles le fruit d’une lente et consciencieuse maturation ? ou bien le résultat chimérique nos rêves agités de la nuit ?

Et vous ? que faites-vous de ces idées matinales ?